Le Jeune homme portant notre club sandwichs $ 24 (vous ne l'avais jamais appeler un garçon) est vêtu d'un impeccable style smoking Joseph Abboud, le genre vend Nordy pendant six ou sept Benjamins. Les hôtesses sont en minijupes élégante de Christian Lacroix ou collants avec des sommets concepteur, selon le grade. Ils marchent comme sur un défilé de mode, qui, en un sens, ils se trouvent.
Le plancher est en aluminium, les fauteuils de cuir blanc, les tableaux translucides et chacun orné d'un grand seule rose rouge. Un DJ à l'entrée est airs filature. Silver-tubes peint en forme de molaires géantes d'ancrage à l'arrière de la salle. Les murs extérieurs? Eh bien, c'est le septième étage du Centre Pompidou à Paris, donc les murs extérieurs sont en glace. Et ils oublient, bien, à peu près tout Paris: Tour Eiffel, Notre Dame, le Sacré Coeur.
C'est un café appelé, tout simplement, Georges, un bijou géré par les frères Costes reclus au sommet de l'entreprise-30-year-old art moderne du musée.
Aurait pu avoir un carpaccio de pétoncles et de saumon, avait pu avoir du caviar osciètre, ou une côte de veau ou un turbot sauce béarnaise. Pas nous. Nous avons parfaitement bien le sandwich club avec des gaufrettes «maison» (tellement plus civilisés que Cascade de Tim), une salade de haricots verts frais, et une demi-bouteille de Sancerre. Pas le genre de repas que les touristes attendent, la seule famille Merkin on s'assied sur place, des énigmes sur le menu pour un couple de minutes, et prend un congé de français.
Mais it's all about da vue, le patron, vue da! Vous n'êtes pas trop haut (Tour Eiffel) ou trop loin (Sacré Coeur). Vous êtes avant-centre rangée. La chose la plus proche de Seattle, soupir, est probablement le Café Taste SAM dans le verre-verso Paccar Pavillion at the Parc de sculptures olympiques. Elle est dirigée par Bon Appétit Management, une tenue de restauration sérieux au sujet de la durabilité et l'approvisionnement local. Mais ils en seraient les premiers à admettre que Notre-Dame et l'Aigle de la Trump Tower Eiffel Calder.
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Paris, mai-être un bien meuble, fête mobile, mais les magasins de la rue Montorgueil sont fixes. Pâtisseries, bars, cafés, stands sandwich, étals de fruits et légumes, les boucheries, les marchands de fromage, de fauteurs de poissons, charcuteries, un fleuriste, un fournisseur des nouvelles, ils sont tous à notre porte.
Le pain est essentiel. Une croissants ordinaires, écartelé et plongé dans un grand crème mousseuse tout en se tenant au zinc au sommet comptoir d'un café du coin, les goûts étonnamment merveilleux. Une tartine, le pain français badigeonné de beurre non salé, c'est encore mieux. Le mieux, c'est une longue et mince appelé pain de la flûte, très parisien, avec beurre d'Echiré (à partir d'une région reculée de l'ouest de la France où les vaches se nourrissent d'herbe locale unique). La meilleure des flûtes est appelé Gana, inventé par Bertrand Ganachaud il ya 40 ans.
La différence Gana est un processus de pré-fermentation qui produit un démarreur connu sous le nom poolish, qui donne au pain un goût de noisette. La pâte est formée par la main et cuit dans un four à bois sous des licences de la famille Ganachaud a accordé à quelque 200 boulangers dans toute la France. Coût d'une demi-miche livre? Buck cinquante.
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Plus de pain à Paris
Une fois que vous avez pris le petit déjeuner, il ya des occasions rares en France que le beurre est automatiquement servi avec les repas. Mais, inévitablement, vous obtenez le pain brun et le beurre avec les huîtres. Un seigle foncé. Au meilleures places, vous obtenez le meilleur de beurre, trop de la coopérative d'Isigny en Normandie.
Si vous bulots commande (buccin, une espèce d'escargot de mer pochés dans un bouillon aromatique) ainsi que des huîtres, comme nous l'avons fait à la Grande Brasserie La Coupole, vous obtenez ainsi la mayonnaise. Tendres et épicé, absolument délicieux.
L'assortiment d'huîtres a été tout à fait charmants, y compris les huîtres plates de Belon prisés et plusieurs «spéciales» des huîtres Gillardeau dans les eaux intertidales de l'estuaire de Marenne, sur la côte atlantique au sud de La Rochelle.
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Japonais à Paris
«Manger une variété d'aliments, pour les Français», dit Sandra, "c'est comme apprendre à lire." Demi-argentin, mi-française, elle est PDG d'une compagnie de voyages qui emmène les visiteurs à Out-of-the-way places. Ainsi, étant à la fois lire et écrire et affamés, nous promenant dans le quartier japonais de Paris, derrière le Palais Royal, entre le Louvre et l'Opéra. Élégant, minimaliste articulations sushi sont partout.
C'est peu après midi, et déjà il ya une ligne extérieure Higuma, un endroit quelconque sur la rue Sainte Anne qui est souvent appelé cantine du quartier, c'est le plus authentique Lamen-ya-salon de nouilles à Paris. Hommes d'affaires, salarymen, des habitués japonais, et de négociation locale des chasseurs intuition plus de bols de ramen bombé par laconique, se déplacent rapidement serveuses. Huge, le remplissage des portions de nouilles, de légumes, calmars, le porc et le bouillon. Delicious! Et l'onglet est de moins de 10 $, un diable de traiter dans n'importe quelle langue.
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Dîner Chez Jim
Sur le téléphone, Jim Haynes m'invite à venir pour le dîner le dimanche, quelque chose qu'il a toujours dit aux visiteurs pendant des décennies. A l'heure actuelle, plus de 100.000 personnes-la plupart d'entre eux de parfaits inconnus, ont accepté son invitation. Ils sont pour la plupart, mais pas exclusivement, les visiteurs américains.
Dans un non-particulier-quartier à la mode dans le quadrant sud-est de Paris, une balançoire haut portail métallique ouvert. Vous marchez dans une cour et entrer dans une grande artiste-plafond's studio. Jim est sur un tabouret à côté de la cuisinière, accueil des nouveaux arrivants (ou sur le téléphone, parler aux chiens errants qui se sont perdus). Par 9 h, l'appartement est encombré avec des invités peut-être 75 ou 80.
Quelques-uns des invités sont des nouveaux venus, certains viennent régulièrement, d'autres quand ils sont en ville. Pour être sûr, certains sont vitesse de croisière, mais beaucoup sont des couples. "C'est une façon agréable de passer une nuit de dimanche à Paris», explique un expatrié belge.
Le menu à trois plats est sans prétention et savoureuse: salade, boeuf bourguignon sur les pâtes, la crème glacée avec des poires pochées. Sur le palier, vous aider vous-même au travail décent, bag-in-vin boîte. Et vous rencontrez des gens, vous causer. Jim fait sûr de cela. Il crie des noms. «Pierre, parlez-en à Julie! Mitch de Cleveland, non? Cela est Suzanne. Elle vit dans le quartier." Il ne renvoie pas à sa liste d'invités, at-elle le bout des doigts. "Ronald, Seattle, Bruce, Seattle." Bruce m'ignore, il n'a pas fait tout ce chemin pour répondre à des voisins.
"Ronald, vous parlez français. Asseyez-vous là-bas par la bibliothèque avec Martine et Danielle! Jim est de la Louisiane, un type de théâtre (comme si tu ne pouvais pas deviner), jouit clairement son rôle en tant que régisseur.
Pourquoi le fait-il, ce jeu de merde tout permanent flottant d'un dîner international? Une pause, un sourire. «Pourquoi pas?" répond-il.
Martine et Danielle, qui vivent dans les banlieues, me disent qu'ils ont entendu parler de soirées de Jim depuis des années, a finalement décidé de voir par eux-mêmes. Et ouais, d'ici la fin de la soirée, ils m'ont tous deux donné leur numéro de téléphone cellulaire.
Pour réserver une place le dîner, appelez directement à Jim 01-43-27-17-67 à Paris, ou visiter son site Web, Jim-haynes.com. Pour voir si il est disponible pour passer quelques jours de la semaine avec les visiteurs, contactez InTouchTravel.com.
Note finale: Carol Pucci du Seattle Times avait une caractéristique formidable sur la façon de répondre aux Parisiens au début du mois, les dîners de Jim sont censés être dans le prochain document de dimanche.
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Sur le front intérieur, la Trattoria mitchelli à Pioneer Square s'apprête à célébrer son 30ème anniversaire. C'est une complète de trois décennies de lasagnes, Garfield! ... Karma a réglé d'une manière moins ambitieuse, tout-menu asiatique, au prix d'environ 10 $ .... Belltown Le Petit Bistro est à vendre ... Leslie Mackie, de Macrina est l'un des cinq nominés pour le chef de cuisine exceptionnel Pasty la James Beard Foundation aux États-Unis Elle a été nominée en 2005 et 2006. Here's hoping la troisième fois, c'est un charme!
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Restaurant examinateur Ronald Holden se félicite des nouvelles et commentaires des gourmets et les mangeoires semblables. Son Belltown basé Notes de dégustation & Dispatches culinaire, www.cornichon.org, a été nommé l'un de l'Internet "Blogs Top Ten des aliments" l'année dernière par About.com.
Plus de notes de dégustations culinaires et les expéditions sont à www.cornichon.org, Récemment nommée parmi l'Internet "Blogs Top Food Ten" par About.com .
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